Digipulse, le gestionnaire d’assets digitaux

Digipulse, le gestionnaire d’assets digitaux

Digipulse, le gestionnaire d'assets digitaux
Digipulse, le gestionnaire d’assets digitaux

 

Site officiel : www.digipulse.io
Whitepaper : www.digipulse.io/whitepaper.pdf

 

Salut à tous mes chers lecteurs, aujourd’hui je vais m’atteler sur un tout nouveau genre de service. J’ai récemment entendu parler de ‘gestionnaires d’assets digitaux’, les plus connus du genre étant CoinDash et Iconomi.

[eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »Digipulse »] est une plateforme SaaS par abonnement qui permet de stocker ainsi que de chiffrer des informations sur sa blockchain. Ces informations ne seront ensuite accessibles qu’uniquement par les personnes à qui sont destinés les fichiers.

Qu’est ce qu’un gestionnaire d’assets digitaux ?

Pour être franc avec vous, il y a 48h je n’avais aucune idée de ce qu’il se cachait derrière ces fameux « gestionnaires d’assets digitaux ». C’est en faisant des recherches sur les exchangers décentralisés que je suis tombé dessus.

L’utilisation de systèmes fonctionnant sur une blockchain est en constante augmentation. Seulement, une clé privé peut très vite s’égarer et la valeur des cryptomonnaies en perpétuelles augmentations font qu’assurer la sécurité de nos actifs n’est pas une tâche aisé.

Les cryptomonnaies se rapprochent de plus en plus du modèle financier habituellement gérés par les banques. Dans ce sens, votre portfolio d’assets vous assure la sécurité de vos investissements comme le ferait votre broker favoris avec vos titres boursiers.

Protection des wallets via un smart-contract

Si j’ai voulu vous parler de ce projet, c’est car il possède le petit plus que j’apprécie énormément : tout le système est basé sur un smart-contract autonome codé sur la blockchain d’Ethereum.
Le stockage des fichiers sensibles est entièrement géré par le smart-contract et même la team derrière [eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »DigiPulse »] n’ont pas la possibilités de voir ce que l’ont y stock.
[eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »Digipulse »] possède également une particularité extrêmement révolutionnaire dans le domaine des cryptomonnaies : la gestion de l’héritage. En effet grâce au smart-contract, [eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »Digipulse »] est capable de gérer l’héritage de certains fichiers. Tout est automatisé selon les directives reçu par le client au moment de la configuration.

Qui dit blockchain, dit également très souvent un token

Comme la plupart des services utilisant une blockchain, [eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »Digipulse »] ne fera pas exception à la règle et émettra son propre token, le DGPT ( pour DigiPulse Token ). Ce dernier sera émis à l’issue de l’ICO du projet qui récompensera les premiers investisseurs en DGPT nouvellement émis.

Le nombre maximal de DGPT en circulation sera de 20’483’871 DGPT. Ce token permettra entre autres de s’offrir les services de la blockchain [eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »Digipulse »] tels que les « smarts vaults » qui sont en quelques sortes une forme de container chiffrés. Notez que vous pourrez sans problèmes définir des règles d’héritage en cas d’accident ou de décès.

Sur la totalité des DGPT émis, 25% resteront bloqués sur le smart-contract afin de servir de réserve et sécuriser la plate-forme.

Un deuxième token basé sur Ethereum, le DGPS

Nous sommes habitués à ce que chaque projet sur blockchain dispose de son token, mais dans le cas de [eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »Digipulse »] il aura un token supplémentaire : le DGPS.
Ce token ne pourra par contre pas être échangé. Son unique but sera d’aider le smart-contract à identifier les portefeuilles admissibles au partage des bénéfices quand la fonction sera disponible.

Partage des bénéfices de la plateforme

Une fois le cadre juridique adéquat mis en place, la team prévoit de mettre en place un partage des bénéfices de la plate-forme. Les bénéfices seront reversés sous forme de DGPT, ce dernier ne servant que comme moyen de paiement pour payer les services de [eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »Digipulse »].
La date estimé avant la mise en place définitif du partage de bénéfices serait aux alentours du T4 2017.

La sécurité des wallets hébérgés sur Digipulse

Venons-en à la sécurité, c’est l’un des paramètres les plus sensibles du projet. La blockchain qui contient les coffres-forts est décentralisé, donc la moindre faille pourrait avoir des conséquences monstrueuses !

Tout les fichiers hébergés sur la blockchain seront encodés via AES-256 ou chiffrés en AES selon les données en questions.
Alors que le cryptage AES existe déjà sous plusieurs formes, [eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »DigiPulse »] utilisera AES-256-CBC, également connu sous le nom de chiffrement Block Chaining (CBC).

Sans vouloir tout détaillé tout les algorithmes, des grosses précautions ont étés prises afin de garantir la sécurité et l’inviolabilité des coffres-forts.

Étant donné que [eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »Digipulse »] a prévu de stocker jusqu’à 1 Go de data par utilisateur du service et de  ses capacités de stockage redondant, la team s’est directement basé sur le code source de Storj1 qui est totalement libre de droits afin d’avoir une base fonctionnelle.

Une plate-forme qui pourrait révolutionner la gestion des actifs classiques

Le projet [eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »Digipulse »] est une solution unique pour la gestion des actifs sous formes de tokens, mais même en dehors de ce domaine de niche il pourrait également améliorer la sécurité des actifs digitaux classiques qui ne sont pas basés sur une blockchain.

L’autre objectif de la team de [eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »Digipulse »] serait de créer un fond d’investissements axé sur les ICO, cette approche permettrait d’aider de nombreux projets à voir le jour plus facilement.

Le suivi de l’activité et l’utilisation du coffre pourrait être utilisé pour mettre en place un service qui traiterait avec d’autres services qui contiendraient, eux, les actifs de l’utilisateur.
Le service lui-même serait gratuit pour les clients, générant une base d’utilisateurs assez grande pour nous permettre ensuite de cibler les entreprises avec un service payant par abonnement
pour la validation de la confiance au nom des clients.

État du projet

La team travaille toujours d’arrache-pieds sur le projet et une version Alpha devrait être prête vers le 15 Octobre 2017. La publication de la version Beta publique devrait avoir lieu vers Janvier 2018.

Une ICO a été lancé le 1 Octobre 2017 jusqu’aù 31 Octobre, où le token DGPT fût vendu pour 0,004 ETH/DGPT. Le montant d’investissement minimal était fixé à 0,5 ETH minimum tandis que le montant d’investissement maximal fût fixé à 2’000’000 de DGPT par vente.

Investir dans l’ICO était possible seulement via de l’Ether en passant par un smart-contract dedié à l’ICO. Les contributeurs payaient l’ETH directement au smart-contract qui lui, renvoyait les DGPT directement sur les wallets des contributeurs.
Sur le total maximum de 20,483,871 DGPT, 12,700,000 DGPT ont trouvés preneur.

Pour les utilisateurs impatients, il est d’ailleurs déjà possible de créer son coffre-fort en passant par ce lien. Vous disposerez d’un espace de stockage compris entre 500 Mo et 1 Go.

Pour conclure :

[eafl id= »153815″ name= »DigiPulse » text= »Digipulse »] est décidément un projet prometteur, bien que n’étant pas encore finalisé.
D’autres portfolio d’assets digitaux permettent déjà de vendre des parts de portefeuille constitués de plusieurs tokens différents, je suppose que c’est une fonction qui aurait toute ses chances d’être intégré au projet dans un futur proche.

 

Sources : Digipulse.io & BitcoinTalk



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Journal du Coin

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Cointribune

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